jfourier — Un dilemme brestois : Steve Mounié entre prolongation et nouvelle aventure
En fin de contrat en juin prochain, l'attaquant du Stade Brestois, Steve Mounié, se trouve à la croisée des chemins. L'international béninois, dont l'état d'esprit est unanimement salué, étudie actuellement une prolongation de deux ans. Mais la tentation d'un nouveau défi au plus haut niveau pourrait bien le pousser vers la sortie.
Un joueur cadre, un choix crucial
Steve Mounié, c'est quatre saisons au Stade Brestois et une place de choix dans le cœur des supporters. Avec 3 buts et 2 passes décisives en Ligue 1 cette saison, il est l'un des piliers de l'équipe actuellement 2e du championnat. Mais voilà, à 29 ans, il est le seul joueur cadre de l'équipe en fin de contrat en juin prochain. Un casse-tête pour le club breton, qui pourrait perdre l'un de ses joueurs les plus appréciés.
Rester ou partir : telle est la question
Rester à Brest, où il est aimé et respecté, et disputer peut-être pour la première fois de sa carrière une Coupe d'Europe la saison prochaine ? Ou tenter un nouveau challenge, arriver libre sur le marché dans l'espoir de briller au plus haut niveau ? C'est le dilemme auquel est confronté Steve Mounié.
Un départ qui ferait mal
Si Steve Mounié décidait de quitter le navire brestois, ce serait un coup dur pour le club. D'autant plus que l'autre attaquant avec lequel il alterne en pointe, l'Uruguayen Martin Satriano, est prêté par l'Inter Milan et devrait retourner en Italie cet été.
Un avenir en suspens
Pour l'instant, tout est encore possible. Steve Mounié réfléchit, pèse le pour et le contre. Son avenir, et peut-être celui du Stade Brestois, se joue en coulisses. Alors, suspense...
En bref, Steve Mounié en plein casse-tête
Steve Mounié, l'attaquant du Stade Brestois, est en fin de contrat en juin prochain. Entre une prolongation de deux ans et un nouveau défi au plus haut niveau, son cœur balance. Un départ serait un coup dur pour le club breton. Mais pour l'instant, l'avenir de Steve Mounié est en suspens. Alors, restera, restera pas ? Affaire à suivre...
