Le "Special One" débarque à Istanbul, Fenerbahçe en ébullition
C'est un événement qui ne passe pas inaperçu dans le monde du football. José Mourinho, l'entraîneur portugais autoproclamé "Special One", a posé ses valises à Istanbul ce dimanche. Sa destination ? Le club de Fenerbahçe, où il est attendu pour prendre les rênes de l'équipe première.
Un accueil digne d'une rock star
Arrivé à l'aéroport Sabia Göcken, Mourinho a été accueilli par une foule de supporters vêtus en jaune et noir, les couleurs du club. Une réception digne d'une rock star pour celui qui est considéré comme l'un des meilleurs entraîneurs de sa génération. Mais ne vous y trompez pas, Mourinho n'est pas venu à Istanbul pour faire du tourisme.
Objectif : ramener le titre à Fenerbahçe
Le club stambouliote, dauphin du championnat turc, est privé de victoire en championnat depuis dix ans. Une éternité pour un club de cette envergure. Et c'est là que le "Special One" entre en jeu. Avec son palmarès impressionnant et son charisme incontestable, Mourinho a pour mission de ramener le titre à Fenerbahçe.
Une présentation en grande pompe
Après son arrivée en hélicoptère aux installations du club, Mourinho a été présenté en grande pompe dans un stade Sukru Saracoglu comble pour l'occasion. Le Portugais de 61 ans a paraphé un bail de deux ans, auquel pourrait s'ajouter une année en option. Une chose est sûre, Mourinho a déjà conquis le cœur des supporters de Fenerbahçe.
Mourinho, le sauveur de Fenerbahçe ?
Avec 99 points engrangés en 34 matches et une seule défaite, Fenerbahçe a pourtant réalisé une saison impressionnante. Mais cela n'a pas été suffisant pour décrocher le titre, remporté par Galatasaray. Mourinho aura donc la lourde tâche de faire oublier cette déception et de ramener le titre à Fenerbahçe.
Conclusion
Avec l'arrivée de José Mourinho, Fenerbahçe envoie un signal fort à ses concurrents. Le club stambouliote veut retrouver les sommets du football turc et européen. Le "Special One" est-il l'homme de la situation ? La réponse sur le terrain. Mais une chose est sûre, avec Mourinho, Fenerbahçe ne sera jamais loin de la une des journaux.