Introduction
Mesdames et Messieurs, préparez-vous à un voyage dans le monde du football, où les rebondissements ne se limitent pas aux terrains. De la France à la Malaisie, les derniers événements nous rappellent que le sport le plus populaire au monde n'est pas à l'abri des turbulences.
Les joueurs de Troyes mis à pied suite à des incidents
Après une rencontre interrompue par des jets de fumigènes, l'ESTAC a pris des mesures sévères. Junior Olaitan, Rudy Kohon, Kyliane Dong et Abdoulaye Ndiaye, coupables d'avoir renvoyé certains projectiles dans les tribunes, ont été mis à pied à titre conservatoire. Ils n'ont plus accès aux installations du club et ne sont pas disponibles pour les prochaines rencontres. L'entraîneur des gardiens, Johan Liébus, a quant à lui écopé d'un avertissement administratif pour avoir dégagé un ballon en tribune.
Violences envers des joueurs en Malaisie
De l'autre côté du globe, le coup d'envoi de la saison de football en Malaisie a été compromis. Le Selangor FC, l'un des meilleurs clubs du pays, a annoncé qu'il ne participerait pas au Charity Shield, le match d'ouverture, après une série d'agressions ayant visé des joueurs. L'ailier Faisal Halim est toujours en soins intensifs, brûlé au quatrième degré après avoir été aspergé d'acide. Un autre joueur de l'équipe nationale, Akhyar Rashid, a été frappé avec une barre de fer et l'ex-international malaisien Safiq Rahim a été menacé avec un marteau.
Conclusion
Ces événements nous rappellent que le football, comme toute autre discipline, est un reflet de notre société. Les violences et les incivilités n'ont pas leur place dans les stades, comme elles n'ont pas leur place ailleurs. Espérons que ces incidents serviront de leçon et que le beau jeu reprendra ses droits, en France comme en Malaisie.
